Projections:
Suite aux crises de 2008, 2014 et 2017 les differents blocs economiques inscrirent dans leurs constitution l’impossibilite de generer du deficit publique, sauf cas exeptionel (guerre et recesssion economique). Afin de repondre a ces exigences, la recherche dans le domaine de la modelisation macroeconomique fut fortement supportée.
Les gouvernements adoptèrent tres rapidement ces modelisations mathematiques a des fins politiques pour imposer la rigeur budgetaire/augmentation des impots avec des arguments rationels. Ainsi, afin d'appuyer les reformes des gouvernements, chaque projet de lois etait automatiquement retranscript en depenses et recettes.
Pour assoir leur credibilité, les partis d'opposition utiliserent aussi des models pour argumenter leurs propositions et sortir de l'accusation de populisme.
Les choix des electeurs devinrent ainsi de plus en plus eclairés. Avec la fin du populisme economique, l'e-democratie s'imposa progressivement par elle meme.
Les electeurs ne votaient plus seulement pour des noms mais aussi sur un scenario polico-economique en changeant l'intensité de plusieurs curseurs: imposition , depense sociale, priorisation de la cause environnementale...
Les taux d’imposition devinrent extrement flexibles (changement trimestriel) et evoluèrent en fonction des choix politiques, de la conjonction et des reformes en cours.
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